La dernière fois

Je me nomme Nancy, étudiante en 3 ème année en faculté de médecine. Bientôt la rentrée et les derniers shows s’annoncent mortels. Il m’avait invité chez lui pour une première fois, car depuis bientôt 5 mois que j’ai accepté de sortir avec lui. Et comme les vacances tiraient a leur fin, on a décidé de franchir le cap et de découvrir ce mystère qui se cache derrière le sexe. Je voulais faire la rentrée avec une nouvelle façade de moi. NANCY la belle

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Il s’est approché de moi, puis s’est mis à mon niveau.
– tu es tellement belle, tellement sexy, tellement désirable.
Me dit-il et comme toujours je baissai le regard. Ensuite il posa sa main sur ma joue me laissant frémir dans une sensation indéfinissable. Je levai donc ma tête et nos regards se croisent, je me suis rendu compte encore une fois de qu’elle manière il est beau. Avec son torse d’athlète, au fond de moi j’ai crié «miam, miam». Involontairement ma main se posa sur sa poitrine et du bout de mes doigts je sentais son corps se remplir d’une sorte de chaire de poule.
Son torse se laissait percevoir par ses pectoraux et abdos. J’étais émerveillée et j’avais envie qu’il me fasse voyager. Du moins qu’ensemble on voyage tout les deux.

Tout d’un coup il posa ses lèvres sur les miennes, c’était un peu délicat et doux car c’était d’une sensualité jamais vue. Ensuite Il m’a posé sur le lit avec une telle douceur , en plus j’étais dans des fleurs présentes sur le lit un peu comme si j’étais dans un jardin. Ça sent tellement bon. Il s’est penché vers moi puis m’a fixé un moment c’est fou qu’il est beau, c’est trop intense, trop sensuel j’ai trop envie. Il a posé ses lèvres sur les miennes et s’est mit à les sucer à leurs extrémités tout le faisait avec la langue. C’est tellement bon, ensuite il commence à me faire des bisous partout sur le haut corps, passant par mon cou, mes lèvres. Sans arrivé aux autres parties. J’en avait marre je veux juste qu’il aille vite et me libère, je mouille déjà.
Moi: M…….J’ai……trop…..envie.
Lui : t’inquiète ma belle c’est pas encore temps tu dois voyager et tu vas voyager.

Après cette phrase il m’a défait mon soutien gorge et pour la première fois de ma vie un homme vu mes seins. J’étais un peu gênée mais il m’a rassuré en glissant sa main sur mon visage pour atterrir sur mes seins qui n’étaient protégé par aucun soutien gorge cette fois-ci. Lorsqu’il a mit sa main sur mes seins j’ai eu d’énormes frissons, et il l’a senti. Avec ses doigts il malaxait l’un de mes sein tout en titillant le bout avec ses doigts. Je n’ai pas pus m’empêcher de gémir et cela en fermant les yeux.
Moi : ahhhh……ahhhhh…….hummmm…..
Il ne me regarde même pas mais cette fois je constate que ses baisers se rapprochent maintenant de ma poitrine disons de mes seins. Mais arrivés à leur nouveau il saisit l’un d’entres eux avec la bouche. C’est quoi ça ? C’est trop bon MDR, en plus il ajoute la langue il contourne le bout de mes tétons en ajoutant plus de salive. Je ne pouvais pas rester en place j’ai commencé à gémir encore plus fort tout en lui caressant la tête juste pour montrer que j’aime. L’autre n’était pas libre hein il l’avait aussi prit en otage avec sa main qui était censé être libre.
Moi: pardon, …….. J’ai trop envie……..
Lui : je t’aime.
Mais quoi cette foutaise, moi j’ai besoin que tu accélères les choses et tu me dit que tu m’aimes. Ah ………. tu vas me tuer. Il continuait toujours avec sa langue sur mes tétons et à chaque fois je frissonnais. Sans le vouloir ma main gauche s’est posé sur son dos et c’est là que j’ai compris à quel point il est musclé, sexy et bien remplit.
Cependant, ……… est descendus un peu plus bas et a inséré sa langue dans le creux de mon nombril. Non mais il y’a des gestes qu’on néglige mais qui peuvent nous faire voyager. Ce geste là en faisait parti. C’est tellement agréable. C’est tellement délicieux.
Il était tellement doux, silencieux et agile. Il savait où toucher pour me faire plaisir quand j’y pense je me demande bien où il a appris tout ça. Ayant pour référentiel mon pauvre corps il le parcourait tantôt avec la langue. Tantôt avec des baisers légers et calme. Mais voyant que le rythme de mes gémissements ont augmenté il s’est dirigé vers le bas maintenant. Arrivé à ce nouveau toujours en me caressant les seins il a enlevé le simple dessous que je portais. Normalement j’aurais sans doute eu honte mais je ne voyais même pas ce qui se passait autour de moi. Mes yeux était légèrement fermés et la bouche aussi. Lorsqu’il était entre mes jambes il a inspiré un bon coup puis a laissé partie pour me faire des bisous sur la bouche. Il joue à quoi ? Moi je veux juste qu’il me pénètre rien d’autre.
Moi: stp arrêtes tout Ça et rentres en moi. J’en peux plus. (Dis-je toute triste )
Lui : OK mais pas maintenant.
J’ai voulut moi aussi participer j’ai glissé mes ongles sur son ventre. Mais je suis étonné il a un corps d’athlète, fait-il du sport? Si oui à quel moment ? Ses abdos… Mamamia……
Après il descent encore entre mes jambes. Puis enlève le pantalon qu’il portait puis resta en boxeur. Enfin il va me pénétrer je suis tellement impatiente, MDR bizarrement il m’a tellement allumé que j’ai oublié que je suis vierge. Moi qui pensait qu’il allait enlever son boxeur il a dirigé sa tête vers le milieu de mes deux jambes, je ne sais pas ce qu’il fait mais je compte attendre et voir. Merde c’est quoi ça ? Il veut mettre sa tête ?
Moi: eyiii monsieur, c’est quoi ça ?
Lui : laisses toi faire.
J’avais super honte mais je l’ait laissé et là boom d’un coup j’ai senti quelque se poser délicatement sur le haut de mon v****. Non mais c’est quoi cette sensation ? Je n’ai jamais ressentie quelque chose de si intense, il passait sa langue partout tout en l’enfonçant quelques fois. Je voulais devenir folle de plaisir, et à chaque fois qu’il passait par le haut une sorte de décharge électrique me parcourait le corps en entier. Je ne sais pas comment on appelle ce truc mais une chose est sûre c’est trop bon. Je n’ai pas pût m’empêcher de lui caresser caresser la tête tout en le pressant pour lui montrer que j’aimais cette sensation.
Moi: Ahhhhhhhhh……..ahhhhhhhhh……… Ahhhhhhh. Ehhhhh Dieuuuuuuuu,
Mohamed : Dieu n’a rien fait deh ( riant)
Moi : tchiiiip.
Il continua encore mais cette fois en ajoutant ses doigts, d’abord un doigt, ensuite deux. Je gémissais en désordre comme une malade et je savais que j’étais mouillé mais je ne pouvais même pas bien ouvrir les yeux. Au bout d’un moment j’ai commencé à sentir une étrange sensation me parcourir le corps et le bas ventre. Mais un instant après j’ai commencé à trembler comme une folle. Et c’était comme si j’étais à moitié morte je voyais à peine comme si j’étais en transe. Comme si ça ne suffisait j’ai commencé à sentir des contraction dans le bas de mon ventre j’ai serré très fort le drap entre mes mains comme si j’allais le déchirer, voyant cela il m’a retenu puis m’a serré très fort pour ne pas que je m’échappe.
Moi: Ahhhhhhhhhhhhhhh ahhh ahhhhhhhhhh
C’était un peu à ce rythme que je gémissais. Avec sa langue et ses doigts il me faisait vraiment voyager. En plus ces contractions procurent tellement de plaisir, c’est juste après que je saurai qu’on appelle cela « l’orgasme » côté sexualité je suis nulle j’avoue.
C’est loin d’être finit il a retiré sa langue et j’ai respiré un peu, c’est un dieu. Ensuite il a retiré son boxeur et je vois un pénis MDR. J’ai ouvert les yeux tellement il était tendu et long. Au fond j’ai crié «c’est quoi ça ? ». Non mais comment il fait pour coincer tout ça dans les dessous qu’il porte. Les hommes sont fort et avec ce que vois là il veut me tuer ça c’est sûr. Je suis folle je sais ?
Moi: eh monsieur c’est long deh.
-c’est important
Me dit-il en s’approchant j’ai commencé à rire, j’étais tellement heureuse. Et un moment après il s’est infiltré entre mes jambes il était si près de cette fleur naturelle que j’avais préservé rien que pour ce moment. Il était sur le point de me donner une autre étiquette, celle de ne pas être cette vierge que j’ai toujours été. Mais ça me gênait pas au contraire je le désirait sans même me soucier d’une quelconque douleur. C’est ça le pouvoir de l’amour. Toujours en me bisoutant de partout il m’a pénétré avec douceur en tranquillité j’ai poussé un grand cris de douleur.
Moi: ça fait mal ( coulant quelques larmes)
Mohamed : pleures pas ma belle je suis vraiment désolé.
Dit-il en faisant des vas et viens avec douceur et sensualité, puis un moment après la douleur se transformé en un grand plaisir qui me parcourait le corps. Dans le creu de mon oreille il ne cessait de me dire des mots doux et de me dire à quel point il m’aimait. Puis soudainement il a commencé à augmenter ses mouvements ce qui augmentait aussi le plaisir. J’étais immobile sans pouvoir faire quelque à part gémir et profiter de ce moment plein de sensations. Du moins de nouvelles sensations.

Pour ne pas qu’il aille au bout de ma jouissance je serré très fort en l’attrapant au dos tout en insérant mes ongles dans sa chaire, c’était plus fort que moi et les coups de reins s’accélèrent au fur et à mesure. Au bout d’un moment j’ai senti la même sensation que le début, mon corps a commencé à trembler suivi des contraction. C’était l’extase je me demande s’il existe un degré de plaisir qui dépasse le stade dans lequel j’étais. Il restait un peu, je dis bien un peu que j’allais déchirer les draps, ensuite j’ai attrapé son bras droit musclé juste pour m’accrocher, mes cheveux étaient mélangé, il est trop fort le mec.
Moi: Achhhhhhh t’arrête paaaaaaaaaaaaas….
Je pensais pas être capable de dire de telles choses un jour, mais mon cher mari m’a pas laissé de choix c’était tellement agréable, profond, et intense. Surtout avec les vibrations et les contractions. Au bout d’un petit moment il jouit en moi et encore pour une première fois dans ma vie. Alors j’ai sourit de plaisir mettant ma main dans mes cheveux, sur mon visage et sur mes seins. Mohamed est très silencieux au lit mais peut faire des dégâts. Lorsqu’il a éjaculé en moi
Épuisé il s’est écroulé à côté et moi je me suis couché en plein ventre sur sa poitrine, il me caressait les cheveux et me disait tellement de belles paroles que je me sentait même très spéciale. Pourtant notre première nuit ensemble était loin d’être finit nous fîmes l’amour durant toute la nuit.
Il s’appelle Oswaldo

Quarante jours plus tard, Nancy a constaté un changement en elle. Somnolence, nausées matinales, et des signes qui lui montraient que son corps se transformait, entre autre les seins enflés, l.absence des règles. C’est dans la quête de trouver une solution qu’elle se confia a sa cochambrière Angélique, qui lui suggéra de faire le test de grossesse… Aussitôt dit aussitôt fait, elle alla a la pharmacie payer un test de grossesse et toutes les deux s’enfermèrent dans le petit coin qui leur servait de salle de bain. Après avoir trempé le test dans l’urine, le coeur de Nancy battait a tout rompre. Malheureusement pour elle et heureusement pour dame nature le test est positif…. Elle fondit en larmes et maudissait le jour où elle s’est laissé emporter par la curiosité de goûter aux délices interdites au novices… Elle pensa a sa famille qui compte sur elle pour les faire sortir de la misère. Ses parents ont tous sacrifiés pour l.emmener loin. C’est leur espoir, leur passeport pour le début d’une vie descente. Elle allait prendre la relève pour pousser ses petits frères…. Que de regrets et de remords… Elle avait pleuré toutes les larmes de son corps… Mais sa camarade fini par la convaincre de se faire avorter et qu’elle connaissait un remède efficace.

C’est dans un lit ensanglanté du Centre hospitalier de la place que le corps raide de NANCY était posé dans la soirée du 25 septembre dernier. En fait, les cris de sa mère à côté du lit d’hospitalisation nous alertaient que la jeune Angélique a perdu la vie. La mine froissée du médecin de garde qui laissait entrevoir la compassion, ne pouvait pas soulager la maman de NANCY par quelques mots de soutien. « NANCY ! Pourquoi tu m’as-tu fait ça ? Docteur, dites-moi que ma fille n’est pas morte !», criait la maman, les larmes … sur le visage. « Madame, j’ai fait tout mon possible pour la sauver mais le produit qu’elle a pris, était trop toxique et il avait déjà fait effet avant que vous n’arriviez dans le centre. Elle a essayé d’avorter, mais les choses se sont mal passées, donc …», lâcha le médecin avant de s’éclipser. Egrainant son chapelet, le père d’Angélique ne pouvait pas, lui aussi, retenir ses larmes. « Seigneur, pourquoi c’est mon unique fille que tu nous a donnée qui nous quitte ? », se demandait-il, le regard figé au ciel.

NANCY avait été auparavant conduite chez l’infirmier du cabinet de soin. Ayant constaté que la jeune fille souffre de douleurs liées à un avortement provoqué clandestin, l’infirmier qui les a reçus, a refusé de lui apporter des soins. « Amenez-la en soin en ville ou dans un autre centre de santé, je ne peux pas soigner une criminelle», avait dit l’infirmier. NANCY était une jeune fille du village de Bokuy.
L’avortement clandestin est l’interruption volontaire du fœtus et non autorisée. La grande majorité des filles qui mettent fin à leur grossesse, le font dans le secret, par peur de poursuites et pour éviter la stigmatisation sociale qui entoure la pratique. La plupart des avortements clandestins se produisent dans des conditions à risque. Cela met en danger la santé et la vie des femmes. Le cas précis de Angélique interpelle les jeunes ainsi que les parents à veiller à une éducation sexuelle à l’endroit des jeunes.