L’HERPÈS première partie

Herpès

L’herpès ou plus scientifiquement l’Herpès Simplex Virus (HSV) est une maladie virale touchant la peau et les muqueuses. Chaque épisode infectieux, c’est-à-dire lorsque le virus se réveille temporairement, est appelé « poussée d’Herpès ». La fatigue, le stress ou encore le soleil sont des facteurs déclenchant connus de la maladie. On distingue 2 types de virus : le HSV-1 et le HSV-2.

Herpès Simplex Virus 1 (HSV-1) : herpès labial (bouton de fièvre) et génital

Définition

L’infection à HSV-1 est courante et présente partout dans le monde. Généralement, ces infections extrêmement contagieuses sont contractées durant l’enfance et perdurent tout au long de la vie. Elles touchent majoritairement l’intérieur ou le pourtour de la bouche, cependant une petite proportion d’infections génitales à HSV-1 existe.

En 2012, l’OMS (Organisation mondiale de la santé) estimait à 3,7 milliards le nombre d’individus de moins de 50 ans touchés par l’herpès de type 1. C’est en Afrique que le nombre de cas d’infections était le plus important et en Amérique qu’il était le plus bas.

Concernant l’infection génitale à HSV-1, l’OMS évaluait à 140 millions le nombre de personnes âgées de 15 à 49 ans concernées par la maladie. Ce type d’infection à HSV-1 survient essentiellement en Amérique, en Europe et dans le Pacifique occidental. A noter, qu’en Afrique, l’herpès génital se manifeste surtout chez les enfants au lieu des adultes, avant le début de l’activité sexuelle.

Le virus est transmis par contact direct des muqueuses buccales provoquant alors une infection orofaciale ou labiale. Il peut également être à l’origine d’un herpès génital à l’occasion de rapports oro-génitaux. Plus rarement, une mère peut transmettre un herpès génital à son enfant durant l’accouchement.

Symptômes

L’herpès buccal est généralement asymptomatique (sans symptôme), si bien que les porteurs de l’infection ignorent souvent leur état. Les lésions de l’infection à HSV-1 sont couramment appelées « boutons de fièvre », ce sont de petites plaies ouvertes et douloureuses à l’intérieur ou autour de la bouche. Avant l’apparition des lésions, les patients ressentent des picotements, des démangeaisons ou une sensation de brûlure autour de la bouche.

Après une première poussée d’herpès, les lésions peuvent réapparaître ponctuellement. La fréquence des récidives est très variable d’une personne à une autre.

L’herpès génital à HSV-1 peut passer inaperçue en raison de l’absence de symptôme ou bien se manifester par des lésions vésiculaires ou ulcéreuses génitales ou anales. Les récidives sont rares mais possibles.

L’infection peut également avoir un impact psychologique sur les patients avec une altération de leur qualité de vie. Ils doivent notamment faire face, en plus des symptômes gênants, à la stigmatisation et au jugement social de leurs pairs. Par ailleurs, l’herpès génital peut avoir un impact sur les relations sexuelles.

Complications

Chez certaines personnes plus fragiles, notamment les immunodéprimés (déficit immunitaire), les symptômes de l’herpès peuvent être plus graves et les récidives plus fréquentes. Des encéphalites ou kératites (infections oculaires) peuvent être observées dans de rares cas.

L’herpès néonatal, transmis au nouveau-né par sa mère lors de l’accouchement, est rare : 10 accouchements sur 100 000 dans le monde. Cependant, il peut provoquer le décès du nourrisson ou des troubles neurologiques. Le risque est le plus élevé lorsque la femme enceinte contracte pour la première fois un herpès vers le terme de la grossesse.

Diagnostic et traitement

Un examen médical chez le médecin traitant suffit à diagnostiquer l’herpès. Quelques fois, des prélèvements au niveau des lésions peuvent être nécessaires afin de confirmer la présence du virus.

L’infection est traitée par un médicament antiviral (par exemple l’aciclovir) par voie orale. Il permet de réduire la gravité et la fréquence des symptômes sans toutefois guérir l’herpès puisqu’il n’élimine pas les virus « dormants » susceptibles de se réactiver. Lors d’une première infection, ce traitement peut être associé à un antalgique pour apaiser la douleur.

Prévention

Le HSV-1 est le plus contagieux lors des poussées avec symptômes, cependant, il peut également se transmettre en l’absence de symptôme ou lésion.

Ainsi, lors de lésions orofaciales, il faut éviter et cela jusqu’à disparition des symptômes :

  • Tout contact buccal avec autrui ;
  • Le partage des objets en contact avec la salive ;
  • Les rapports sexuels oro-génitaux.

Le préservatif correctement utilisé peut prévenir la propagation d’un herpès génital. Bien entendu, il n’empêche pas la transmission à partir des lésions des zones non couvertes par le préservatif.

Les femmes enceintes doivent alerter les professionnels de santé impliqués dans leur suivi de l’apparition de symptômes. Il est primordial de prévenir une nouvelle infection, d’autant plus en fin de grossesse où le risque pour l’enfant est le plus élevé.

Les contraceptifs deuxième parties

Les méthodes barrières

Le préservatif : c’est une membrane de latex que l’on va placer sur le pénis en érection juste avant le rapport sexuel.

Le préservatif féminin : c’est une membrane de latex avec un anneau à chaque extrémité. Il se place dans le vagin.

Le diaphragme : Il se présente sous la forme d’une coupole de caoutchouc qui se place au fond du vagin. Contrairement au préservatif, le diaphragme peut s’utiliser pendant cinq ans.

Les spermicides : ils se présentent sous la forme d’une crème, d’un gel, d’un tampon ou d’une éponge. Les spermicides sont des composés chimiques qui vont tuer les spermatozoïdes.

Les contraceptifs première partie

Les contraceptifs hormonaux
Ce type de contraception agit en libérant dans le corps des hormones qui ont pour fonction d’empêcher l’ovulation.

La pilule contraceptive : Elle se présente sous la forme d’une plaquette contenant 21 à 28 comprimés.

L’implant : Il se présente sous la forme d’une petite tige de 3 à 4 cm qui se place sous la peau du bras et qui est efficace pendant trois ans.

Le patch : C’est un carré de 4 cm de côté qui se colle sur la peau.

L’anneau vaginal : Il se présente sous la forme d’un anneau souple et transparent.

La piqûre contraceptive : C’est une injection d’hormones qui se fait à intervalle régulier. Elle est efficace 12 semaines.

Les dispositifs intra-utérins
Le stérilet : c’est une petite tige en plastique qui se place dans l’utérus. Il va empêcher l’ovule fécondé de se fixer dans l’utérus. Il peut être hormonal ou au cuivre.

La contraception

La Contraception
La contraception désigne l’emploi de moyens visant à empêcher qu’un rapport sexuel entraîne une grossesse.

C’est le nom donné aux méthodes permettant d’avoir des rapports sexuels en évitant une grossesse non désirée (Contraception = contre La Conception).

Les Moyens de Contraception
Les méthodes contraceptives vont vous permettre de vivre votre sexualité de manière responsable et en toute liberté. Il y en a plusieurs. L’une d’entre elles vous conviendra certainement.LE PRÉSERVATIF ME PROTÈGE DE TOUT !
Les IST.
Les grossesses non désirées.
JE M’EN SERS À CHAQUE FOIS !

La masturbation (Awoko ou encore se bolo)

La Masturbation…
C’EST NORMAL !
Ce sont des caresses le plus souvent solitaires (souvent par va-et-vient, frottement, pression…) au niveau des parties génitales (pénis du garçon, vagin, vulve, clitoris et seins de la fille) qui procurent du plaisir ou un orgasme.La masturbation peut s’accompagner d’éjaculation à partir de la puberté et de sécrétions chez la fille.
Les caresses peuvent être accompagnées d’images ou de scènes érotiques qui défilent dans la tête.

Pornographie vs La Réalité
Laisse moi rêver : ne pas confondre sexualité vécue et pornographie filmée.

Les images pornographiques peuvent casser mes rêves.
Je ne suis pas une machine ni un objet.

Mes môgôs scienssons oubien?

La puberté.

À titre d’information revenons sur ce que c’est que la puberté.😉

La puberté c’est quand le corps et la tête deviennent petit à petit celui d’un adulte.
Sous l’influence du cerveau, le corps reçoit “une douche hormonale“.

Ce qui Change dans ma Tête :
Quand le corps change, c’est aussi dans la tête que des changements se font. Agressivité, ennui, passions soudaines, révolte…
Mon caractère et mes envies changent.
Se sentir grandir donne envie de tout connaitre, de se dépasser et parfois de prendre des risques.

En amitié et en amour, engager son corps et/ou son cœur dans une relation, c’est peut-être prendre des risques moralement et physiquement, se sentir bien et parfois mal.
Accepter les changements prend du temps, beaucoup d’énergie.
Les relations changent chez moi et chez les autres.
Amours, amitiés.
Conflits (Parents, frères et/ou sœurs, amis…).
Contester, ça fait grandir !

Ce qui change dans mon Corps :

  • Taille
  • Voix
  • Seins
  • Fesses
  • Sexe
  • Pénis
  • Poils
  • Transpiration
  • La peau
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